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    10 choses à ne jamais dire à une maman

    Attention aux faux pas

     

    10 choses à ne jamais dire à une maman

    Que vous ayez un ou plusieurs enfant(s), vous n’échappez pas, vous maman, à certaines remarques, petites phrases assassines de votre entourage, belle-mère, homme, amies, qui ont l’art de vous mettre en rogne.

    Il n’est pas toujours évident de jongler entre vos chères têtes blondes, votre travail, les courses et l’entretien de la maison avec la pile de linge qui s’accumule !

    Et franchement, vous en avez marre d’entendre à longueur de journée ces phrases qui vous exaspèrent ! Avis de tempête avec ces 10 choses à ne surtout jamais dire à une maman !

     

    A quoi ça sert de faire des enfants si c’est pour ne pas les garder ?

    Cette phrase-là souvent prononcée sur un ton mielleux a le don de vous énerver et vous donne aussitôt envie de montrer les crocs ! Oui, car forcément, pour certains être une maman signifie forcément rester à la maison, faire à manger et arrêter absolument de travailler.

    Bien entendu, vous aimeriez passer parfois plus de temps avec loulou, surtout quand il fait ses premiers pas chez la nounou et que vous en ressentez un pincement au cœur, mais bon, tout le monde n’est pas rentier non plus ! Et puis avoir une vie sociale, c’est important pour vous ! Donc exit la culpabilité et à bas les préjugés !
     

    Tu as l’air fatigué

    Difficile de faire autrement lorsque l’enfant est malade, qu’il a passé toute la nuit à pleurer parce qu’il avait perdu son doudou et sa tétine ! Et que vous devez vous lever tous les jours à 6 heures pour partir au boulot !

    Alors même à coups d’anti-cernes, vous ne parvenez pas à camoufler votre mine exténuée ! Mais bon, ce n’est peut-être pas la peine qu’on vous le répète à chaque fois qu’on vous voit ! Vous êtes au courant ! Votre miroir vous le dit assez.

    Si c’était mon enfant…

    Tu devrais faire comme ci ! Moi si j’étais à ta place, je ferais ça ! Grr, vous n’en pouvez plus de tous ces conseils bien attentionnés de vos amies, votre mère, belle-maman, qui se mêlent de tous et veulent faire l’éducation de votre enfant à votre place !
    Certes, vous n’êtes pas une mère parfaite, mais vous assumez ! Oui loulou se roule par terre, oui il mange des frites ! Et alors ? Ce n’est pas leur enfant !



    Tu as pris un peu de poids ?

    La phrase qui tue et vous déprime ! Surtout quand c’est votre homme qui vous l’assène ! Sauf qu’entre le travail à rallonge, les enfants, la fatigue, vous ne voyez vraiment pas où caser la pause sportive qui contribuerait à affiner votre silhouette.

    Je ne sais pas comment tu fais

    Une phrase à double tranchant ! Tout dépend de la personne qui la prononce ! Soit il s’agit d’un sentiment d’admiration exprimé pour vous dire combien vous êtes formidable !

    Mais vous en doutez ! Soit, et cette possibilité est la plus probable, il s’agit d’une manière détournée de vous faire comprendre que vous ne gérez pas d’une main de maître vos priorités !


    Il ressemble à son papa

    Normal, avez-vous envie de rétorquer ! Puisque c’est son père ! Forcément, il y a des airs de ressemblance. Mais quand belle-maman décide de sortir la pile d’albums photos pour vous prouver par A plus B que votre enfant ressemble trait pour trait à son fils lorsqu’il était bébé et pas à vous, ça vous fait bouillir intérieurement !


    Il a marché à quel âge déjà ? Ah..

    Tous les enfants ne marchent pas au même âge ! Et puis, peu importe avez-vous envie de dire ! Ce n’est pas une course ! Ce n’est pas parce que la fille de votre voisine a marché à 10 mois et la vôtre à 19 mois, que votre enfant est forcément attardé ! Non mais !

    Il s’appelle comment votre garçon ?

    Euh ! Comment dire ? Ce n’est pas un garçon mais une fille,qui porte une robe et rose qui plus est ! Là vous tombez des nues ! Certes, elle n’a pas encore beaucoup de cheveux mais de là à croire qu’il s’agit d’un garçon !

    C’est bizarre son prénom ?

    Lorsque vous prononcez le prénom de votre enfant, vous vous exposez parfois à des réactions inattendues ! Et alors, avez-vous envie de dire. Ce n’est pas votre enfant qui porte ce prénom. 
    Et si ça vous gêne de l’entendre, vous n’avez qu’à vous boucher les oreilles. Et d’abord, en quoi il est plus bizarre ce prénom que celui de votre enfant, Madame ?  

     
    Ce n’est pas trop diététique, ça ?

    Si c’est pour critiquer l’alimentation de votre enfant, vous allez vous énerver ! Car oui, vous essayez bien de lui faire manger des légumes, mais bon après des journées difficiles, vous n’avez pas trop envie de vous battre ! Et d’abord des frites-nuggets, ça n’a jamais fait de mal à personne !

     

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  • DOUZE BONNES RAISONS D AIMER NOEL

    Douze (bonnes) raisons d’aimer Noël

    Réveillon à l’horizon, cadeaux à gogo,

    family-party…, plus que jamais, on n’échappe pas

    à la grand-messe de saison. Que les mauvais

    esprits et autres rabat-joie se le disent, cette année,

    on po-si-ti-ve à fond. Noël est une fête !

    Déjà, c’est original

    À lire et à entendre sur le Web, dans les conversations ou les tirades anti-Noël

    des uns et des autres - « indécence de la conso » par-ci, « hypocrisie familiale

    » par-là -, on sent bien que la modernité n’est pas du côté des ravis de

    la crèche. Et il est relativement peu avouable de prétendre continuer à aimer

    ce moment et ses rituels passé 10 ans et demi… Eh bien si, justement !

    Fi de ce conformisme qui ne dit pas son nom… On accroche joyeusement

    des boules au sapin au lieu de les avoir, ça changera. D’ailleurs, tous les

    psys le disent : supporter la relative contrainte d’une fête imposée, c’est le

    signe que l’on est en paix avec soi-même.

    C’est super reposant

    Pour tous les « control freaks » de leur image, les 24 et 25 décembre sont

    Quel confort (bis) !

    C’est super reposant (ter)

    Notons que le sapin, en dépit des appels répétés à « plus conceptuel » par les pros de la déco (qui doivent justifier leur job), peut aussi - doit ? - rester un sapin en branches et en os. Et non une silhouette minimaliste au Scotch noir sur un mur blanc. Ou un complexe assemblage de cintres métalliques design qui fait cling-cling et peur aux enfants. Quel confort (ter) !

    Ça nourrit la légende familiale

    Chaque famille a ses « Xmas stories » qu’elle rappelle à chaque nouveau Noël. Il y a la fois où Théo (5 ans à l’époque, 23 aujourd’hui) n’a pas pu attendre le 25 au matin. Et a éventré nuitamment tous les paquets à la recherche de son cadeau. Il y a cette messe où Daphné, née un 24 décembre, a répondu au « On fête quoi ce soir, les enfants ? » du prêtre : « Mon anniversaire ! » Celle encore où un jeune oncle, ayant oublié tous ses cadeaux chez lui, a fait à la place un shopping de peluches hideuses dans une station-service de l’A1… Et tout le monde de rugir de rire, comme si c’était la première fois qu’on l’entendait !

    C’est une occasion de prouver son sens aigu de l'organisation

    Comme tous les ans, on fantasmera sur l’idée de commander à l’avance un sapin en pot qui sera vertueusement replanté après (treezmas.com). Ou de partager, dès octobre, sur les nombreux sites ou applis les listes de vœux familiales. Histoire d’avoir bouclé au moins les cadeaux des petits, au pire fin novembre… Comme tous les ans, on se retrouvera en fait à prendre le dernier arbre coupé du fleuriste du coin, 3 mètres de hauteur, une fortune, mais il ne restait que lui, à J - 4. Et surtout à faire des pieds et des mains pour trouver la Barbie Hop à cheval, survivante, avec canasson qui bouge (l’hystérie 2015), ou l’ultime sabre laser Star Wars (idem), encore disponibles vers le 20 décembre…

    C’en est une autre de tester la fine fleur de l’économie collaborative

    On renoue avec les grands classiques: foie gras-chutney de figues et bûche au chocolat.

    Comme par exemple le crowdshipping (jwebi.com), ce concept inouï qui permet de faire rapatrier à moindres frais un colis venu d’ailleurs par quelqu’un qui revient chez nous. Super pour cette casquette hyperpointue, objet des fantasmes de fiston, achetée à Harlem par une amie expat’ à New York, non ? Totale frime, en tout cas, si (par miracle improbable) on le fait vraiment ! Partagetonfrigo.fr, le premier réseau antigaspi alimentaire, ne serait pas non plus totalement du luxe le 25 au soir…

    C’est une pièce de théâtre

    La seule dont on connaisse le casting et les répliques par cœur, autant dire un classique que la Comédie-Française nous envie. Notre belle-mère dira comme toujours « Bon, ce soir, c’est surtout une fête religieuse, un chocolat chaud à minuit et voilà », avant de siffler sa bouteille de Ruinart. Yvan Rebroff chantera forcément Noël (on l’a connu en 33-tours, notre papa l’a dorénavant en CD) pendant que notre maman dira « Moins fort, André ! » comme tous les ans à la même heure. Notre chéri s’attribuera évidemment la tâche de charrier inlassablement des papiers et des rubans froissés, tel un éboueur mélancolique, parce qu’il se sent vaguement coupable de cette débauche de cadeaux… Bref, chacun jouera son rôle, et cette immuabilité sera infiniment rassurante.

    C’est un jour où même les ados sont de bon poil

    Sans doute galvanisés par la perspective de passer le 31 décembre avec leurs copains, ils sont étonnamment bon public pour le 24. On les trouve même étrangement folâtres, prêts à toutes les excentricités (mettre sans rougir les chapeaux Réveillon chez les Inconnus en papier des crackers Marks & Spencer, par exemple), câlins avec leurs petits cousins (qualifiés intrépidement de « trop chous » en dépit de leurs états d’énervement force 8), serviables (c’est-à-dire parfaitement capables de gérer le réchauffage des gougères), voire bien élevés (« Oh Tantine, merci pour ce ravissant petit porte-monnaie - en strass violet à fermoir doré. J’adore ! »). Et ce serait persifler que d’y voir seulement la joie d’accéder à un nouveau bien techno ou it sac. Non, ils ne sont pas comme ça.

    C’est bon de (re) croire cinq minutes au Père Noël

    Certes les hohoho ! faussement joviaux des sites marchands en tout genre nous ulcèrent depuis deux mois. Bien sûr, nous sommes en mesure de citer Claude Lévi-Strauss dans son célèbre le Père Noël supplicié (in les Temps modernes, 1952, consultable sur classiques.uqac.ca ). Évidemment, c’est l’Étrange Noël de Monsieur Jack, sous Tim Burton influence, notre « feel good movie » de la période… Mais il y a ce moment exquis et ridicule, où l’on prépare en famille la carotte et le sucre pour les rennes, avant d’envoyer les plus jeunes au lit… Et celui-là, on n’y renoncerait pour rien au monde !

    C’est le happening tous les ans à la messe

    Si l’on y va, on constatera que, à côté de la créativité déchaînée de certaines paroisses, Olivier Py ronronne. Mystère médiéval avec poupon en plastique et Stan Smith sous les robes de bure, Coluche feat saint Joseph avec reprise de l’hymne des Restos du Cœur en chant de sortie, interprétation de (pas si) Douce Nuit par un orchestre endiablé de flûtes à bec…, quoi qu’en disent les mauvais esprits, on s’ennuie rarement à l’église. Toutes les initiatives décrites sont authentiques.

    C’est repimpant pour l’ego familial

    Quand ça se passe bien entre générations, que les ex et les nouveaux couples font un effort (sans devoir passer par le service stockage des factures de cadeaux pour parents divorcés de family-facility.com !) et que les esseulés plus ou moins sympathiques de la tribu ont tous été conviés, on a le droit de se sentir fiers. Même quand un des « teens  », sardonique, nous ressort le vieux Réveillon chez les Inconnus sur YouTube et son nouvel ordi reçu il y a vingt minutes. Il y a un sous-entendu ?

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    Faut-il se laver les cheveux tous les jours?

    Faut-il se laver les cheveux tous les jours?

      Entre les partisans d'un shampoing quotidien et les adeptes de lavages plus espacés pour ne pas faire "regraisser  trop vite" les cheveux, la question divise. Décryptage et conseils de pro.

      "J'ai pris l'habitude de me laver les cheveux  tous les jours au lycée: cela me permet de les mettre en forme chaque matin et de  me sentir fraîche", raconte Coralie, 25 ans. De son côté, Frédérique, 52 ans, a une autre routine: "J'ai toujours eu le cuir  chevelu assez gras, et une dermatologue m'avait déconseillé de les laver tous les jours pour ne pas irriter le cuir chevelu et  accélérer  la production de sébum. Je lave donc mes cheveux tous les deux à trois jours." 

      Face à la question de la fréquence idéale du lavage de cheveux, deux clans s'affrontent: les partisans d'un lavage quotidien,  arguments hygiéniques à la clé, et les adeptes de shampoings espacés, soi-disant plus respectueux du cuir chevelu. Qu'en est-il  vraiment? Peut-on se laver les cheveux tous les jours sans risque ou, au contraire, faut-il espacer les shampoings pour des  cheveux plus beaux et plus forts? Décryptage et conseils de pro. 

     

      Tenir compte de la nature de son cuir chevelu et de son environnement

      "S'il est indispensable de se laver le visage tous les jours, pour éviter de développer et / ou d'entretenir certaines pathologies  comme l'acné ou la rosacée, ce n'est pas le cas pour les cheveux dont le cuir chevelu est bien moins exposé à la pollution et aux  impuretés", affirme d'emblée Catherine Chauvin, directrice de l'institut René Furterer, à Paris. "Normalement, on ne devrait pas  avoir besoin de faire un shampoing tous les jours", abonde Charley Assoun, fondateur des salons Biocoiff', qui nuance cependant:  "quelqu'un qui travaille en extérieur, sous les lampes d'un bureau, dans une ville polluée, ou qui fait du sport, peut cependant  ressentir le besoin de les laver plus souvent." 

     

      La fréquence du shampoing dépend en effet à la fois de son type de cuir chevelu et de son mode de vie. Un cuir chevelu sec, en  particulier celui des peaux noires, ne nécessitera pas plus d'un à deux lavages par semaine, un cuir chevelu gras des lavages  plus fréquents pour éliminer l'excès de sébum. L'important étant de trouver le bon shampoing traitant après avoir établi la nature  de son cuir chevelu. Une quête souvent complexe: "On peut avoir un cuir chevelu gras et des cheveux secs, asphyxiés par  les pellicules grasses collées sur le crâne", indique Catherine Chauvin qui conseille d'alterner un shampoing traitant adapté et un  shampoing doux, en fonction de ses besoins (volume, brillance, lissage). 

      Ainsi, Mireille, 52 ans, qui utilise un shampoing à base d'huile de jojoba, explique: "J'ai les cheveux secs et  frisés, donc je ne  ressens pas le besoin de les laver très souvent, deux à trois fois par semaine. En revanche, je les lave beaucoup plus souvent à    Paris, à cause de la pollution, que lorsque je suis en province où je peux attendre une semaine entre deux shampoings." 

    "Un shampoing doux utilisé au quotidien ne pose pas de problème"

      De son côté, Noémie, 20 ans, raconte: "Je me lave les cheveux chaque matin avec un shampoing doux acheté en pharmacie  depuis mes 16 ans, c'est comme ça que je me sens bien, propre." Une pratique qui ne choque pas le dermatologue Philippe  Assouly*. "Il faut arrêter de faire culpabiliser les gens", explique ce dernier. A condition d'opter pour une base lavante douce, "un  shampoing utilisé au quotidien ne pose pas de problème."  

    Également, la croyance selon laquelle des cheveux lavés tous les jours regraissent plus vite, est dépassée selon l'expert: "Nos mères et grands-mères utilisaient des shampoings ultra décapants, faits avec les mêmes bases lavantes agressives que les liquides vaisselle qui entraînaient une surproduction de sébum. Or ce n'est plus le cas des formules sophistiquées d'aujourd'hui."  

      Seul bémol émis par le professionnel: l'utilisation de certains conservateurs particulièrement allergisants. "La chasse aux  parabènes a par exemple entraîné la réapparition dans les shampoings de méthylisothiazolinone (MIT), une molécule  abandonnée il y a une vingtaine d'années car trop irritante. De fait, nous avons vu réapparaître en cabinet des eczémas de  contact", note-t-il. 

      No-poo, sans silicones... Quid des formules naturelles?

      "J'ai longtemps lavé mes cheveux tous les jours, car j'étais persuadée qu'ils étaient gras, détaille Elodie, 42 ans. A force de me  renseigner, j'ai décidé de me tourner vers des shampoings bio . Il m'a fallu un certain temps d'adaptation, mais je peux désormais  attendre quatre jours  entre chaque shampoing." Charley Assoun conseille d'opter pour des formules les plus légères possibles,  avec moins de silicones-des composants se terminant en -icone, -iconol, -siloxane- qui, s'ils gainent le cheveu, peuvent aussi  l'alourdir. 

      Quant aux produits faits-maison et autres techniques de lavage décrites comme "moins agressives", telle que celle du "no-  po" (abréviation de "no-shampoo"), une méthode qui consiste à se laver les cheveux avec un après-shampoing, voire à  simplement les rincer à l'eau- elle laisse les professionnels sceptiques. 

      "J'ai déjà récupéré des clientes qui avaient tenté l'expérience et... ce n'était pas beau à voir!", affirme Charley Assoun. "Il est  difficile de faire soi-même un bon shampoing, car il se compose d'une association complexe de bases lavantes permettant  de dissoudre le sébum à la surface du cuir chevelu", explique le Dr Assouly. Le bicarbonate de soude et le vinaigre de cidre , les  deux ingrédients fréquemment utilisés dans les recettes maison, ne présentent a priori pas de risque hormis une éventuelle  irritation des yeux. Et cependant de mettre en garde: "L'important avec ces techniques artisanales, c'est de savoir les doser, et  surtout les conserver. Si vous utilisez votre produit immédiatement, il n'y aura pas de problème. Sinon, gare aux proliférations  bactériennes!" 

      Enfin, dans le cas du "shampoing sec " qui absorbe le sébum grâce, notamment, aux poudres qu'il contient, il ne constitue pas  un vrai shampoing et "peut être irritant et assécher la tige pilaire", indique Phlippe Assouly. A utiliser de façon exceptionnelle  donc, en dépannage sur la frange ou comme produit de coiffage pour son effet texturisant et volumateur. 

    Quelle attitude adopter en cas de maladie du cuir chevelu?

      En cas de pellicules persistantes, voire de dermite séborrhéique - des pellicules grasses et des plaques qui se forment à la  surface du cuir chevelu - il est nécessaire de consulter un dermatologue, car les conseils ci-dessus ne s'appliquent pas  nécessairement à un cuir chevelu à problème. "Que les pellicules soient grasses ou sèches, elles sont causées par la  prolifération du champignon malassezia, qui favorise l'inflammation et les démangeaisons", explique Philippe Assouly. Si les  pellicules ne disparaissent pas avec un shampoing antipelliculaire, il faut consulter un dermatologue, qui prescrira un shampoing  médicamenteux anti-champignon.  

    L'essentiel, prévient le Dr Assouly reste surtout d'établir la cause. "Pour une femme, cela peut être un problème d'hyper androgénie. Avec l'arrêt de certaines pilules de 3e et 4e génération, nous avons vu réapparaître dans nos consultations les problèmes d'acné, de pellicules, de cuir chevelu gras, de chute de cheveux." Des examens poussés sont parfois nécessaires pour établir la cause du problème capillaire et ainsi mieux la traiter. 

    Le bon rituel recommandé par les pros

      -Utilisez un shampoing traitant adapté à votre cuir chevelu (irrité, sec, anti-pelliculaire...) au maximum deux fois par semaine à  alterner avec un shampoing doux à usage fréquent. 

      -Massez doucement le cuir chevelu avec une noisette de produit, faites mousser à l'eau tiède puis rincez longuement -à l'eau  froide pour les plus courageux, cela permet de refermer les écailles des cheveux et ainsi de les rendre plus brillants. "Moins un  shampoing mousse, plus la base lavante sera douce", explique le Dr Assouly qui recommande notamment aux cuirs chevelus  sensibles d"éviter certains sulfates irritants tels que le sodium lauryl sulfate et le sodium laureth sulfate

      -Évitez l'usage du sèche-cheveux car la chaleur agresse la fibre capillaire. S'il est impossible de les laisser sécher à l'air libre,  privilégiez un réglage sur chaleur moyenne. 

      -L'après-shampoing n'est pas indispensable mais utile si on a les longueurs abimées. Évitez d'en mettre sur les racines,  privilégiez les textures légères. 

      -N'attachez pas vos cheveux mouillés car cela entraîne la prolifération d'éventuels champignons -et donc la formation des  pellicules.  

     

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    10 phrases qui déclenchent une dispute à tous les coups

    10 phrases qui déclenchent une dispute à tous les coups

        Pour déclencher une bonne grosse dispute dans un couple,

    il suffit parfois de pas grand chose.

    Des mots, par exemple, qui ont le pouvoir de faire

    hausser le ton à son partenaire en une fraction de secondes.

    Voici une liste de ceux qu’il faut éviter à tout prix. 

    1 - Tu sais, ta mère…

    Que l’on critique ses propres parents, c’est tout à fait légitime. Mais que l’on s’attaque à ceux de son partenaire, là, ça coince… Alors, on bannit les « tu sais, ta mère… » Pas touche, sa maman est sacrée, il a le droit de la critiquer, pas nous. 

    2 - T’écris à qui ?

    « Si ça se trouve il parle à son ex, ou alors, il voit quelqu’un d’autre en parallèle »… Quand on le voit écrire des SMS, ça monte à toute vitesse dans notre tête. Du coup, on s’empresse de lui demander « T’écris à qui ? » Sauf qu’il n’y a rien de pire pour énerver un mec… C’est la porte ouverte aux « Tu m’étouffes », « Tu ne me fais pas confiance ». 

    3 - C’est pas bon pour ce que t’as !

    D’un côté comme de l’autre, ça ne fait jamais plaisir d’entendre ça. Ce que ça implique ? « Tu ne crois pas que tu es suffisamment grosse comme ça ? » Bon, même si on n’a pas arrêté de lui dire qu’on voulait perdre quelques kilos, c’est quand même pas sympa. 

    4 - Non rien

    Quand il dit quelque chose qui ne nous plaît pas, on répond « Non rien, laisse tomber ». Un homme prend ce qu’on lui dit mot pour mot. Si on lui explique qu’il n’y a rien, il ne va pas chercher à savoir si c’est vrai ou pas. Et bien sûr, on s’énerve… 

    5 - C’est bon, j’ai compris

     

    « C’est bon, j’ai compris », est une porte grande ouverte à la dispute. Cela signifie « Tu ne veux pas le faire, je ne compte pas pour toi ». Et bien sûr, ça l’énerve. 

    6 - Attention, il y a une voiture en face !

    Arghhhh, il n’y a rien de plus énervant que quelqu’un qui commente notre façon de conduire. « Ralentis, fais attention, c’est vert… » Comme si l’autre était aveugle et ne savait pas ce qu’il avait à faire. Engueulade assurée. 

    7 - Tu ne fais jamais rien à la maison

    Il vient de rentrer du boulot, il est crevé, et on lui sort « Tu ne fais jamais rien à la maison. Tu pourrais m’aider avec les tâches ménagères, les enfants… » Pour accueillir son compagnon, il y a mieux que de l’agresser tout de même non ? 

    8 - Mais puisque je te dis que ça va !

    Quand il nous demande ce qu’on a et que l’on répond « Mais rien, puisque je te dis que ça va ! », c’est un appel à la dispute. En gros, on insinue « Non ça ne va pas mais je ne te dirai pas pourquoi, tu n’as qu’à trouver tout seul ». C’est hyper énervant pour la personne en face… 

    9 - Dis, est-ce que tu m’aimes ? 

    Certes, on a besoin de l’entendre. Mais lui demander quinze fois par jour, c’est lui signifier qu’on ne lui fait pas confiance et qu’on doute des sentiments qu’il a pour nous. Il sort avec nous, c’est bien qu’il nous aime, autrement il aurait quitté le navire depuis longtemps. Et puis, franchement, ce n’est pas du tout sexy d’avoir en face de soi une personne qui quémande de l’attention…

     

    10 - Et sinon, ton ex…?

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